Militante hors normes
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Elle ne vous en voudra pas si vous lui dites qu'elle est grosse. « Pour moi – dit Loulie – c'est juste un adjectif, pas une insulte ».
En revanche, de façon plus insidieuse, la grossophobie est bien présente dans sa vie et c'est parfois difficile d'y faire face.
Alors, avec son amie Lucie, elle a créé voilà deux ans à Rennes le collectif Gros Amours, pour dit-elle « se faire du bien » et rêver ensemble d'un « monde sans accoudoirs et sans normes ».
Des femmes et des tracteurs
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« A mon époque en 4ème les cancres on les orientait tous dans des métiers manuels ou dans l'agriculture et aujourd'hui tous mes anciens copains sont chefs d'entreprises ! Les cancres parfois réussissent mieux que les autres ! » Autour de la table ronde sur la situation des agricultrices, organisée le 12 décembre par l'association Femmes de Bretagne, c'est le témoignage de Marie-Edith Macé qui a été le plus remarqué.
A 56 ans et après plus de quinze ans d'expérience en tant qu'éleveuse de vaches laitières en agriculture biologique à quelques kilomètres de Rennes, c'est une femme déterminée qui est venue dire son quotidien de cheffe d'exploitation mais aussi de présidente d'une association de professionnel.le.s.
Pour elle, aujourd'hui encore les agricultrices ne sont pas des « agriculteurs comme les autres ».
Elle veut "illuminer les regards"
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Quand elle chante, Batia Setty le fait en arabe ou en hébreu, parfois en associant les deux langues dans un même morceau.
C'est parce que son parcours personnel et familial s'est construit autour de ces deux cultures que l'artiste a choisi de s'exprimer ainsi sur scène.
Derrière le titre de son spectacle, Shalam, on retrouve le salam arabe et le shalom hébreu. On retrouve surtout un message « vibrant d'amour et de paix ».